Puis le visiteur découvre les silos. Là, c'est un autre
monde. Un monde à la Escher. Dans aucun des anciens moulins en friche ils
n'ont su résister aux incendies, ni à Paris ni à Marquette. Seule demeure l'ossature
triaxiale, souvent ouverte, à qui lève les yeux, sur un comble déchiqueté. Les planchers n'ayant aucune raison
d'être dans ces ailes, le vertige saisit souvent le visiteur stupéfait. |