été 2002

Seine-Maritime (76)

L'usine est donc plongée dans un profond silence juste entrecoupé par les battements d'ailes et les gloussements des mouettes et des pigeons. La structure porteuse de béton est comme étouffée par les tuyaux, innombrables et énormes, comme autant de tentacules d'une bête industrielle monstrueuse et endormie dans une nature qui la conquiert inexorablement mais dont le destin funeste et humain sera probablement plus rapide...

 

 

 

 

 

 

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