| ![]()
| ![]() |
![]() Quelques puits sont renforcés, par exemple celui-ci (en haut), pas très éloigné du
versant et donc conforté, en pied, par une carapace de béton. Comme dans la carrière Casadavant, celle de l'est reçoit une installation de ventilation. Une gaine ascendante d'aspect brut relie une cheminée prolongée par un tuyau de 12 mètres, en tôle, au ventilateur de 8 chevaux (25 000 mètres cubes à l'heure) qui propulse ensuite l'air dans les vides. L'atmosphère du souterrain pouvait donc être entièrement renouvelée très approximativement en une heure. | |
![]() |
|
![]() |
|
Sources :
|
|
Service historique de la défense Archives municipales de Meudon Atlas des carrières souterraines, Inspection générale des carrières Julien Turgan, les Grandes Usines de France, Manufacture de blanc de Meudon, Calmann-Lévy, 1878 L'intéressante étude des carrières de Meudon de Robert Chardon, publiée par le PICAR Inventaire des vides souterrains de France, Quartier général régional de l'air de l'Ouest français, Commissariat BIII 12b, Service de géologie de la Wehrmacht, 1942-1944, traduction JPDelacruz, 1995 |
Retour à la rubrique Souterrains. |